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Chasseur de têtes : un accès direct aux meilleurs candidats

Chasseur de têtes : un accès direct aux meilleurs candidats

10 septembre 2012| Jessica Joyal

Il y a quelques années, faire appel à un chasseur de têtes était une stratégie de dernier recours pour les dirigeants et les propriétaires d’entreprises à la recherche d’un cadre de niveau supérieur, d’une perle rare. Le métier était méconnu, mal compris et d’ailleurs ces conseillers spécialisés en recrutement, vu la nature de leur travail, se faisaient notoirement discrets.

 

Mais les choses ont bien changé. S’il demeure vrai que les chasseurs de têtes sont à la recherche de profils rares, on fait de plus en plus appel à leur expertise et à leur réseau de contacts d’entrée de jeu. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’une approche très ciblée donc précise, dont les résultats sont garantis à 100%.

 

Aujourd’hui, considérant la pénurie de main-d’œuvre dans certains métiers spécialisés où un savoir-faire très spécifique est requis, cette approche est de loin la meilleure avenue. En fait, dès qu’il est question de complexité, d’urgence ou de confidentialité, cette stratégie est celle qui conduit aux meilleurs candidats.

 

Les chasseurs de têtes disposent d’un imposant réseau de contacts. Ils ont aussi une formation et un parcours leur permettant de saisir rapidement les enjeux de gestion propre à une entreprise et à une industrie. Cette compréhension poussée de l’environnement d’une organisation fait en sorte que la recherche, les entrevues et la sélection de candidats potentiels seront toujours conduites de manière plus précise.

 

AGENCE DE RECRUTEMENT OU CHASSEUR DE TÊTES ?

 

Une question d’action… et de résultats !

 

Le chasseur de têtes est beaucoup plus actif dans l’industrie de l’employabilité qu’une agence de recrutement. Il se concentre en exclusivité sur le mandat qui lui est confié. Stratège, créatif et habile négociateur, il privilégiera toujours une approche directe des candidats présentant le profil recherché. En fait, le chasseur de têtes cherchera obstinément et de manière très proactive jusqu’à ce qu’il trouve.

 

Un territoire de recherche beaucoup plus vaste

 

Selon un sondage réalisé par le Groupe Adler au bénéfice de LinkedIn en septembre 2010, seuls 8% des personnes sans emploi sont activement en recherche, alors que 10% sont en recherche semi-active et que 22% sont carrément inactives ou près de leur retraite. Les 60% restantes sont en poste et donc pour la plupart, passives en terme de recherche d’emploi. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’elles ne sont pas ouvertes à considérer une offre, si celle-ci présente un avantage en phase avec leurs objectifs personnels ou professionnels. Le chasseur de têtes concentre la majorité de ses efforts dans ce 60%, alors qu’une agence de recrutement procède passivement par voie traditionnelle (affichage non ciblé), dans le bassin plus restreint de 18% des personnes sans emploi, actives ou moyennement actives dans leur recherche. Le territoire de recherche du chasseur de têtes est donc beaucoup plus vaste. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle le résultat de son travail est toujours concluant.

 

Considérant ce qu’il en coûte à une entreprise de faire de mauvais choix sur le plan des ressources humaines, faire appel à un professionnel qui déniche systématiquement le meilleur candidat est de loin plus logique… et plus payant.

 

Quelques croyances à élucider

 

Plusieurs idées fausses (ainsi que de faux espoirs) sont entretenues à l’endroit des chasseurs de têtes. De la part des candidats potentiels le plus souvent, mais aussi du côté des organisations.

 

Un chasseur de têtes n’est PAS une agence de placement. Le chasseur de têtes n’est pas mandaté pour mettre votre candidature sur le marché. Il est mandaté (et rémunéré) par un employeur pour trouver un professionnel correspondant à un profil très spécifique. Un chasseur de têtes soutiendra un candidat uniquement si ce dernier correspond à ses critères de recherche pour un mandat donné. Il est au service de l’entreprise et non des individus, et il agit sur la base d’un mandat précis.

 

Un chasseur de têtes n’est PAS un courtier en curriculum vitae. S’il est vrai que les chasseurs de têtes disposent d’un réseau de contacts enviable et d’une imposante banque de curriculum vitae, ils ne sont pas pour autant des courtiers en sommaires professionnels. Des candidats seront recherchés, sélectionnés et présentés sur la base d’un mandat exclusif, précis et rémunéré.

 

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