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Ergomanie : quand le travail prend trop de place...

07 février 2021| Marie-Ève Martel, La Voix de l'Est
Le 7 février dernier, Jessica Joyal donnait son opinion pour un article publié dans La Voix de l’Est sur l’ergomanie. En voici un extrait :
… Le fait de se retrouver en situation de télétravail du jour au lendemain a déstabilisé bon nombre de travailleurs, estime Pierrette Desrosiers, psychologue du travail et coach auprès d’entrepreneurs. Certains employés ont l’impression de devoir en faire plus pour prouver qu’ils travaillent réellement et que leur patron peut leur faire confiance. « Un milieu de travail amène certains repères; d’autres sentent plutôt qu’ils ont le champ libre pour ralentir le rythme. On parle de quarts de travail, délimités par un horaire ou par notre arrivée et notre départ du lieu de travail, des pauses, l’heure du dîner...
En travaillant de la maison, on est laissés à nous-mêmes et c’est à nous d’établir nos limites. Ça prend une très grande discipline pour en faire juste assez, sans en faire trop », dit-elle. « En travaillant de la maison, il y a beaucoup plus d’interruptions, dont plusieurs n’ont pas nécessairement de lien avec l’emploi: on parle d’appels personnels, de la sonnerie de la laveuse à la fin de son cycle ou du four qui a terminé la cuisson du repas du soir, les enfants qui ne sont pas à l’école, énumère Maude Boulet, professeure adjointe à l’École nationale d’administration publique.
Tout est mélangé, et dans certains cas, ça peut mener à une hausse de conflits entre le travail et la famille, plutôt qu’une meilleure conciliation. » La ligne est d’ailleurs mince et floue entre ceux qui sont considérés comme de grands travaillants et ceux qui sont aux prises avec une dépendance à leur travail. « La différence, c’est que les workaholiques ont souvent le sentiment que s’ils ne sont pas en train d’accomplir quelque chose, ils ne sont rien, explique Mme Desrosiers. Ils finissent par se brûler et tout cela empiète sur leur vie personnelle. »…
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